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Le Casque et la Plume en décembre (suite 16) - par Evasion VTT

 

 

Dimanche 28 Décembre

Vite, vite !

En arrivant sur le lieu de rendez- vous, il n'y avait que le clan des Michel prêts au départ. Avec leur autorisation nous nous sommes joints à eux pour une sortie à cinq, on pensait à tort que c'était privé.

Michel, le coach, nous fait comprendre que la trêve des confiseurs n'existe pas dans le monde du vélo et on file bon train le long de la voie ferrée, entre Arcizac - Adour et Montgaillard nous reprenons notre souffle derrière la croupe d'un troupeau de chevaux et de celle qui les mène...Par la rue " Prudence " nous arrivons dans le haut du village de Montgaillard et de là, la longue montée du Cassoulet nous emmène au sommet de la côte de Loucrup. Vite, vite la boucle de la sapinière et ravitaillement express "au carrefour de l'arbre". Un vent froid se lève et nous oblige à repartir très vite, vite.

Même une crevaison lente ne nous ralentit pas beaucoup, il faut pourtant se résoudre à réparer à Horgues.

Comme le temps me manque je ne pourrai pas vous raconter par le détail les péripéties des pompes trop désuètes de certains, trop sophistiquées des autres et des chambres à air qui refusent la pression.

A très bientôt si vous avez le temps...

                                  SM

 

Dimanche 21 Décembre

Choses et autres

Nous étions neuf ce matin pour partir le long de l'Adour jusqu'à Bours-Bazet, de là, traverser la plaine pour atteindre Oursbelille et la côte de la Montjoie. Au pied de la montée, les filles se mettent à l'avant et nous imposent un faux rythme. La stratégie sera payante car les écarts au sommet seront cette fois minimes.C'est à partir de là que Michel M nous propose un itinéraire nouveaux : nous partons sur la droite, sur les crêtes au-dessus du village de Lagarde puis nous plongeons sur la gauche dans la forêt de Siarrouy.

Le chemin devient étroit et très boueux, c'est là que Gene nous fait le grand écart après fente, impossible pour elle, dans la fange, de ramener ses ballerines sous elle pour se relever. Joël, moulé dans son collant noir tente le porté de Noureev dans l'acte II du Lac des Cygnes, pour le cas c'était plutôt la mare aux canards, hélas pour lui, il avait oublié que le matin même il avait enrubanné sa taille dans une ceinture de maintien pour soutenir ses vertèbres douloureuses lui interdisant tout geste déplacé... Le regroupement se fait tant bien que mal au-dessus de Siarrouy et Michel nous guide tout près de l'abbaye de Tarasteix où nous sommes salués à l'unisson par  les carillons du clocher. Il nous faut remonter péniblement sur les coteaux, où je distingue un panneau indicateur et indicatif, "chemin de la bouderie", tout le monde fait la gueule.

Nous retrouvons la Montjoie et Oursbelille, le bois du Commandeur et Bordères où nous sommes accueillis également par une volée de cloche car il est midi. Si on ne veut pas se les faire sonner sérieusement, il faut accélérer un peu.

Les badauds pourront alors voir défiler, neuf santons en terre fraîche complètement cuits.

En tout cas une ballade innovante, fort appréciée de tous.

SM

 

Dimanche 14 Décembre

Mécanique, chasse et nature

Ce matin, le groupe des inconditionnels est quasiment au complet puisque nous sommes dix au rassemblement.

Très vite une panne sérieuse survient au bout de trois kilomètres : sans s'affoler Pierre sort sa caisse à outils dont il ne se sépare jamais, il choisit l'instrument approprié et après quelques ajustements hasardeux mais précis le vélo repart à l'état neuf, heureusement car nous attend la côte de l'antenne à Barbazan. Arrivés au sommet on est tous chauds pour aller n'importe où.Cela passe par la cabane des pendus où nous sommes habitués à rencontrer une équipe de chasseurs sympas, avec qui nous plaisantons à chaque passage, histoire de prouver qu'il est possible de se partager les bienfaits de la nature avec un peu de bon sens et de respect. Encore une bosse entre Piétat et les collines de Lansac pour atteindre la grande plaine de Laslades. A travers les champs demaïs fraîchement ramassés une harde de chevreuils passe au loin au triple galop,on reste rêveurs, avec nos petits braquets on est loin de rivaliser. Le groupe s'étire longuement à la recherche d'un itinéraire nouveau qui pourrait éventuellement intéresser nos amis les marcheurs, des repères sont notés, c'est promis on reviendra car le site est intéressant.

Vu l'heure, nous rentrons sans nous presser en évitant du mieux que possible les grosses difficultés.

SM

 

Dimanche 7 Décembre

Olé !

Bel équipage ce matin, puisque nous sommes onze à partir sous un soleil timide mais  encourageant. Nous choisissons la direction du sud, vers nos montagnes fraîchement repeintes de blanc.

Grimpette sur Visker et les Puyolles. Dans une descente, virage serré : qu'il était beau le saut de l'ange effectué par Françoise sur fond de montagne enneigée, heureusement pas de mal,  par la suite nous nous engageons dans une prairie occupée par un troupeau de bovins parmi le quel se distingue la masse inquiétante d'un taureau : ramure imposante bien campé sur ses pattes, près de sept cent kilos, élevage Miura de M Dupuy à Montgaillard. Visiblement la bête a les boules de nous voir traverser son domaine, à l'avant les filles prennent peur et sprintent vers le"callejon", Monique et Danielle tenue or, bleu azur et vert prairie, couleurs de Séméac évasion, suivies de Françoise qui a tenu à conserver la couleur" terre des Puyolles" sur les épaules arrivent très vite en limite de parcelle, un embouteillage important est provoqué pour le passage de la clôture. Jacques s'emmêle la muleta sur le fil et nous confirme que la clôture est bien électrifiée. Silence et demie queue: Pierre le " chef de lidia "ordonne la fin de la faena.

 

SM

 

 

Dimanche 30 Novembre

Le vol du hussard

 

Matinée sombre et humide, mais le parcours prévu est en direction du lac a dit Pierre.

Malgré les pistes très glissantes nous avançons à bonne allure. Au bas d'une descente à l'approche du lac Monique se couche sur un talus à vitesse réduite, le vernis n'a pas souffert .

Nous traversons la plaine de Laslades où un vol de grues cendrées en récupération dans un champ de maïs nous avertit que le froid, c'est pour bientôt.

Le trajet se poursuit à bonne vitesse et sans incidents notoires, jusqu'à la descente de la croix du hussard où Monique s'offre une dernière vuelta, un espèce de vol plané ininterrompu, un truc qui ne figure pas dans le manuel du petit vététiste .

Il  nous reste une dizaine de minutes pour rentrer, c'est alors qu'un mini épisode cévenol nous rince pour de bon, juste assez pour décaper le kaway de Monique.

SM                                 

Publié le 22/12/2014 @ 22:40  Prévisualiser  Imprimer l'article

Le Casque et la Plume en novembre (suite 15) - par Evasion VTT

Dimanche 23 Novembre

 

La complainte de la pauv Françoise

 

Belle escapade par cette douce matinée automnale, à l'est de Séméac, nous apprécions la couleur des forêts et les tapis de feuilles sur les sentiers.

Soudain le vent du sud, en jouant avec la cime des arbres nous joue une tendre musique venant de la nuit des temps :

c'est la complainte de la pauv Françoise.

Elle est tombée par terre,

la faute au frein arrière.

Le nez dans le ruisseau,

la faute à son vélo.

Epines dans le derrière,

se relève fière.

Ajuste ses oripeaux,

sans l'aide de son Jacquo.

Elle est tombée la dernière,

se retrouve première.

Car il n'est pas trop tôt

pour courir vers l'apéro.

                                  SM

 

 

 

 

 

Dimanche 16 Novembre

Allô la terre !!!

Aujourd'hui dix participants, avec la reprise de Monique qui nous reviens d'une autre galaxie, bien contente de retrouver notre douce région.La mise à feu est donnée à neuf heures précise, cap au sud, direction Salles Adour, Mommère et Odos. Après le polygone de Juillan, au moment de franchir un petit pont pas très rassurant Rosetta qui était en dernière position émet un signal de détresse, aussitôt Philae, le petit robot va à son secours, après s'être bien amarré celui-ci récupère le satellite en difficulté.Notre pilote nous conduit jusqu'à Adé sans avoir à franchir la moindre côte digne de ce nom.Sur la route nationale, nous nous mêlons un instant à la voie lactée multicolore du" vingt kilomètres " Lourdes Tarbes.Des travaux sur la zone de Toulicou nous obligent à dévier de notre trajectoire, nous n’échappons pas à la récurrente crevaison avec le défilé des chambres à air et les essais de pompes accompagnées des plaisanteries qui vont avec.La grosse difficulté du jour se présente à Hibarette, l’apesanteur commence à se faire sentir, "saturne" pas bien pour tout le monde, c'est même le trou noir.Au final Philae se sent pousser des réacteurs et il se transforme en Tchouri et tel une comète folle nous entraîne avec lui le long de la voie ferrée pour finir en beauté sur le pas de tir que nous avions quitté trois années lumières auparavant.            SM

 

Dimanche 9 Novembre

Pluies de Novembre

"Lorsqu'il pleut en Novembre, ne quitte pas ta chambre "

Ce dicton que je viens d'inventer n'a aucune incidence sur le groupe VTT du club puisque nous étions douze au départ en ce matin maussade.

Nous suivons l'Adour jusqu'à Bours. Quand il nous voit passer, le chien de Michel Prudence hurle à la mort, mauvais présage : de grosses gouttes commencent à s'écraser sur nos casques en direction d'Oursbellile. Au sommet de la côte de La Montjoie (la bien nommée) la pluie s'annonce sans discontinuer, nul ne pense une seconde à changer le programme pour autant. Nous piquons sur le versant de Pintac et attaquons la deuxième grosse difficulté. Au niveau d'un croisement de pistes, sous les sapins, nous sommes réchauffés par le flash intensif et inépuisable de Gene qui avait pris un raccourci pour mieux nous surprendre. Au sommet de la côte de Ger, nous descendons par  "la piste jaune", au bas de celle-ci, comme le feu est au vert nous remontons par "la piste rouge" (troisième difficulté), le feu est maintenant orange clignotant, nous sommes gelés, il faut rentrer. A Bordères le groupe se scinde en deux, par de larges sourires nous arrivons à craqueler la boue qui sèche sur nos visages. Vers midi nous sommes de nouveau à Bours, le chien de Michel est à la niche devant sa gamelle.

Pour Gene, Françoise et Danielle je dédie cette réflexion d'un grand champion cycliste au courage exemplaire, Jens Voigt :

" Parfois votre corps commence à vous dire, oh je n'en peux plus, je n'en peux plus, votre esprit répond alors : tais-toi corps et fais ce que je te dis"

At ... at..... atchoum !              SM*

* Ne pas lire sado-maso

Dimanche 2 Novembre

 

Coup de pompe

 

Belle affluence ce matin, il y a dix candidats au départ.

Une discussion sérieuse s'engage sur la pression des pneus. Nous partons quand même gonflés vers Barbazan,Salles Adour et la côte d'Hibarette

En cet endroit la piste a été restaurée mais les cailloux fraîchement étalés chassent sous les roues (uniquement celles qui sont sur-gonflées)

Au sommet d'une colline nous dérangeons le satyre des bois d'Adé, simplement vêtu de deux bâtons de marche nordique et d'un mini caleçon,

nous voyant accompagnés par trois de nos partenaires féminines de "vertu irréprochable" il plonge dans les fougères et en une poignée de secondes réapparaît habillé.

Il nous pose des questions assez inattendues et avant qu'il ne s'intéresse à la pression des pneus nous reprenons notre progression.

C'est alors que je me rends compte que je n'ai plus qu' un demi bar sur ma roue avant ; Je me résigne à réparer, mes compagnons en profitent pour me vanter leur "caoutchouc", mais ce n'est qu'à la troisième chambre à air que j'arrive à réaliser une réparation sérieuse, vint alors le moment du gonflage, la discussion s'égare sur

le "bout rigide où flexible", encore des dérapages...

Belle sortie par des chemins inattendus qui nous laisse sur une bonne "im pression".

 

                                             SM

Publié le 08/12/2014 @ 20:01  Prévisualiser  Imprimer l'article

Le Casque et la Plume en octobre (suite n°14) - par Evasion VTT

Séméac Evasion

Sorties VTT d’Octobre 2014

 

Dimanche 19 Octobre

Carte et lunettes

Michel Dupuy rassemble les six participants à cette randonnée, aujourd'hui c'est lui le guide désigné :

il chausse ses lunettes et déplie la carte, il nous montre le parcours proposé par le président.

Direction Aureilhan et Orleix après le cimetière nous prenons la direction de Sabalos par une piste en terre au fort pourcentage.

Au sommet de cette côte nous tournons à gauche et par une magnifique piste, jamais empruntée pour ma part nous atteignons les contreforts de Dours.

Au sommet de la côte de Soréac une indication, chasse au gros gibier, nous oblige à changer l'itinéraire.Lunettes sur le nez, carte dépliée, Michel trouve un moyen de contournement en toute sécurité. Nous retrouvons le circuit programmé à la sortie de Louit, c'est de nouveau Sabalos et Oléac- Debat, plongée sur la plaine d'Orleix,"carte sur le nez et lunettes dépliées".... nous nous trompons pour rejoindre la plaine tarbaise : ce n'est pas bien grave puisque la distance qui était prévue correspond à celle qui s'affiche sur les compteurs. En tout cas une sortie très agréable avec des passages inédits et un rythme assez élevé qui nous voit terminer avec "les lunettes froissées et la carte embuée".

              SM

 

Dimanche 5 Octobre

C'est l'Automne,

Cinq, qui n'ont pas peur se retrouvent au départ, un guide remplaçant est nommé d'autorité vu que le titulaire est refroidi par le temps.

La première partie de cette sortie ne sera pas racontée car nous sommes dans la pénombre et une pluie fine nous oblige à garder les yeux dans le Kway.

Nous relevons la tête au pied de His, il est prévu d'atteindre les Puyolles.Le rassemblement se fait au "carrefour de l'arbre", puis une option, le contournement de la sapinière, contact avec la route de Loucrup et retour au pied de notre arbre. Il faut remettre des vêtements chauds pour se jeter dans la descente et rejoindre Loucrup et de là le village de Visker que nous traversons sur toute sa longueur, pour piquer à droite et emprunter un sentier que l'on peu qualifier de dangeureux, vu la profondeur des ornières (plus d'un mètre par endroit ) et les galets glissants dans la partie basse. Nous rentrons par un itinéraire classique,à savoir,Hibarette, Louey, les tobogans, Juillan, Odos, Mommère, la voie ferrée, dispersion à l'entrée de Séméac pour conclure d'une belle randonnée où les premières fraîcheurs se font sentir.

                 SM

Publié le 08/12/2014 @ 19:41  Prévisualiser  Imprimer l'article

Le Casque et la Plume en septembre (suite n°13) - par Evasion VTT

Séméac Evasion

Sorties VTT de septembre 2014

 

Dimanche 21 Septembre

Le prince des gués

Nous étions dix ce matin là, à trois ou quatre éléments près c'est la totalité de la section VTT. L'itinéraire emprunte comme bien souvent le bois de Labarthe puis direction Barbazan et sa fameuse côte vers les crêtes de Piétat . Au départ de cette côte se trouve un ruisseau qu'habituellement notre spécialiste traverse à gué, aujourd'hui il évite la difficulté .En remontant vers Calavanté nous interceptons les coureurs à pied qui participent au trail de Séméac : ils montent aussi vite que nous en vélo.Depuis les bois de Souyeaux nous nous dirigeons vers Sarrouilles, et là le prince des gués que nous préférons voir foncer devant que "défoncer derrière " double tout le monde et traverse L'Ousse dans une gerbe d'écume, il a retrouvé son rang .Nous voici à notre point de départ, le derrière un peu endolori, rassurez vous le prince des gués n'y est pour rien .

                         SM

 

Dimanche 14 Septembre

Les aventuriers

Sans guide confirmé , il y avait trois "risque tout" décidés à s'élancer dans la campagne hostile .Par le bois de Labarthe nous arrivons sur les crêtes de Séméac. A l'entrée de Pietat, nous n'hésitons pas à contourner "la cabane des pendus" , descente facile où grâce à l'odeur nous débouchons près de la station d'épuration.Direction Lespouey, nous traversons une morne plaine, notre progression est stoppée par un lac ....Grâce à un ponton en bois on peut traverser une zone humide, après être passés sous les arches d'un viaduc centenaire nous prenons brutalement à gauche, une côte non moins brutale nous débarque au centre du village de Lhez. Il est temps de faire le point : Le moral est bon, le matériel intact,il y a encore assez de vivres pour poursuivre notre expédition. Nous décidons de rejoindre par la route le village de Mascarras, et là ,coup de folie sans doute, nous nous engageons sur une piste jamais utilisée jusque là par des vététistes : et pour cause c'était un cul de sac...

Enfin sur le bon chemin nous arrivons à Angos, en longeant un champs de maïs, Danielle qui était à l'arrière entent siffler les plombs (c'était l'ouverture de la chasse) la caille arrivera au sommet des crêtes de Pietat sans perdre une plume. Le retour se fera par la belle descente qui nous dépose au sud de Barbazan.

Comme nous n'avons pas de lampe frontale et des rations de survie suffisantes nous interrompons là notre aventure.

                    SM

 

Publié le 08/12/2014 @ 19:37  Prévisualiser  Imprimer l'article

Le Casque et la Plume en juin (suite n°12) - par Evasion VTT

Séméac Evasion

Sorties de juin 2014

 

Dimanche 1° juin

100% Michel

8H30 devant le Club. Après deux sorties hors de nos bases (Gers il y a quinze jours, Béarn la semaine dernière) nous voici sur nos terres (et notre boue)… quel sera l’état des troupes après des campagnes si éprouvantes ?   Pierre est allé chasser l’isard vers Narbonne, Serge et Eric  sont les deux premières recrues « galactiques » du Pdt Boudjellal (l’un rédigera ses mémoires, l’autre jouera du piano).

Le peloton à trois Michel, sous la grisaille, s’étire dans la traversée de Séméac en direction de Bénac par les chemins souvent gras  franchis à allure soutenue. Assez vite nous attaquons la côte de Bénac à Layrisse et c’est un Michel qui arrive le premier en sifflotant ! La descente vers Orincles demande de l’attention et c’est entiers que nous repassons à Bénac, traversé par un passage inédit .

Puis sur le chemin nous rencontrons … la discrétion ne nous permet pas de dire qui, dans quelles conditions et quelle fut l’issue de cette rencontre…

A Hibarette, nous attaquons la côte que Michel n’aime pas trop, Michel arrive toujours en tête et Michel pour son retour, n’est pas trop loin. La descente vers Odos est grasse et caillouteuse à souhaits.  IL n’est que 11 heures et déjà nous atteignons les 40 kms, Michel quitte les Michel. Nous aurons largement le temps de rentrer avant 12 h et de passer la tondeuse avant l’apéritif car le soleil est enfin revenu. Mais il faudra porter le béret, Bigourdan bien entendu.

mm

 

dimanche 8 juin

Décrassage

8H30.

 Nous sommes 4 ; temps estival. Conditions idéales  pour la pratique du VTT. Aujourd’hui nous éviterons les flaques d’eau, la boue et les bois sombres : place au soleil, aux chemins roulants, aux points de vue imprenables sur la chaîne Pyrénéenne. La Plaine Sud de Tarbes  est le terrain qui convient et nous nous y dirigeons, les braquets sont courts, la tchatche facile, les sujets ne manquent pas. Il est vrai que les jambes des volontaires du jour sont lourdes ; l’un a travaillé, l’autre a tenté de suivre  un chien de traîneau sans traîneau,  le troisième rentre d’Australie la valise plaine, le dernier a  pédalé une heure sur un vélo d’appartement.  La séance de décrassage s’imposait ! Ce fut fait consciencieusement  et sans efforts  superflus nous voici aux environs de midi dans nos foyers.

Avant de se quitter, Eric me glisse à l’oreille : superbe sortie, mais tu devrais vérifier sur le dictionnaire la définition de « décrassage ».  En fait, d’après les dernières recherches  en médecine sportive,  le terme « récupération active » serait  plus approprié.  Eric, et les Michel, objectif atteint : la récupération a été active !

mm

Publié le 08/12/2014 @ 19:27  Prévisualiser  Imprimer l'article

098 Le Serpolet des Montagnoles - par Huberdeau

LE SERPOLET EN TRAVERSEE DES MONTAGNOLES

            Trois heures du matin, le sommeil m’a quitté. Sur l’écran noir de ma nuit blanche (merci Nogaro) je m’écris les aventures d’hier au Serpolet, pensées que je traduirai demain en lettres noires sur l’écran blanc de mon ordinateur.

             Castillon vers 9h45, nous sommes douze participants, prêts à partir vers le Serpolet en traversée. Par une température assez douce, si douce que je pars en bras de chemise et en prévoyant que le premier dépelurage aurait lieu avant un quart d’heure. Petite erreur de ma part, il aura bien lieu mais après 20 minutes de grimpette. On écoute jamais assez les vieux. J’ai pris mes grosses chaussures rigides et mon gros bâton de berger à la place des fragiles bâtons extensibles, ce qui fait dire à une connaisseuse qu’il y aura peut-être des difficultés sur la route. Pour l’instant,  la piste à peine enneigée nous offre une marche tranquille et  une ascension facile. Le niveau élevé des conversations peut en témoigner. Virage après virage, nous prenons  lentement de l’altitude au milieu de la forêt qui a pris ses belles couleurs d’automne. Mais bien vite, le paysage change, les couleurs aussi, nous entrons dans un décor plus blanc, plus immense. Les sommets alentours apparaissent, plus ou moins bien enneigés. L’antenne de la cime se dévoile là haut, sur notre gauche. Il nous faut alors quitter le confort de la piste pour emprunter une pente herbeuse assez raide. Quelques uns néanmoins, croyant mieux faire, ou trop tentés par la douceur trompeuse de la piste, continuent sur celle-ci. Ils le payeront par un effort supplémentaire dans la neige en fin de course. Pour les autres, les mieux disciplinés, les voix se sont tues, les souffles ont pris une cadence accélérée, la montée courte mais intense demande un effort violent.

            Midi moins un quart, bien calculée la montée car :

Midi moins le quart

L’heure du Ricard

      Un bar magnifique nous attend, en plein soleil, sans vent et avec des images murales sans concurrence. Même ceux qui n’aiment pas le Ricard prennent goût à le déguster sur un comptoir aussi  luxueux.

         Repas rapide et courte sieste marquent la fin regrettée du séjour au sommet. Oh qu’ai-je vu ? deux boites de conserves vides s’envoler et se poser plus bas,  sur le parquet de notre joli bar ? C’était une plaisanterie, elles seront récupérées avant le départ par les fautifs. Kolossal  plaisanterie.

     Nous ignorons la quantité de neige qui nous attend pour le retour côté La Mongie. Un rapide coup d’œil nous fait découvrir un vallon pentu mais plus herbeux que blanc. La petite arête pour rejoindre le col se descend avec précaution malgré quelques glissades. Mais que peut faire une chaussure usée, aux crampons plus lisses qu’une savonnette et qui ne porte pas la marque jaune Vibram si ce n’est de glisser et d’entrainer son propriétaire dans une chute pour le moins désagréable ? quelques « bains de fesses » rappelleront à Clara qu’il est temps de changer de pneus. Michel, par devant, devine le cheminement du sentier sous le manteau blanc et tout le monde descend bien sous la haute et constante protection des accompagnateurs. Quelques passages nécessitent quand même des précautions particulières. La Mongie est en vue depuis un petit moment et le sentier abandonne ses difficultés rapidement. Une longue pelouse qui perd sa peau blanche en grands lambeaux, nous amène au grand parking de la station. Il faudra attendre un peu pour ouvrir les pistes. 

        Alors là bravo les Montagnoles, vous méritez un énorme coup de chapeau car nous avons largement outrepassé les règles du jeu inscrites dans la loi montagnole et vous avez passé l’exercice avec panache. C’était une épreuve anti pétoche mais ça, on ne vous l’avait pas dit.

        Nous rejoignons les véhicules garés plus bas par une descente sur le goudron indigne de la course d’aujourd’hui mais il fallait en passer par là. Une descente chez Lolita, ex Maryse terminera la journée. Les boissons étaient bonnes, l’ambiance également, mais le décor ne pouvait pas rivaliser avec celui que nous venions de quitter là-haut.

Participaient à la sortie Françoise et Michel G,  Michelle et Christian C,  Amélie C, Jean Pierre E, Michel D,  Jacqueline C,  Nadine L,  Clara R,  Evelyne M  et le préposé aux écritures Gérard H .

 

Publié le 22/11/2014 @ 09:23  Prévisualiser  Imprimer l'article

099 Le Barassé - par Huberdeau

                                                         LE BARASSE

                                  Michelle C, Pascale L, Jean Pierre E  et Gérard H.

         Eh bien nous y sommes revenus. Après notre passage au Serpolet il y a trois jours, nous nous étions promis de revenir ici avant les premières neiges et de gravir le pic Barassé.

         Ce matin donc, nous nous retrouvons une nouvelle fois  à la Mongie, vers 8 heures avec la ferme intention de parvenir au sommet. Nous amenons avec nous Pascale, la seule qui ait répondu à l’invitation « internetique » de la veille. Cette fois-ci, nous prenons sagement le départ aux ‘’ étiquettes’’ tracées sur le vieux tuyau en béton en bas des pistes. Montée agréable à la fraîche sur le sentier bien connu de nos chaussures jusqu’au sommet du Serpolet. Passage obligatoire à l’antenne pour Pascale qui n’était jamais montée jusque là. Pas le temps de rêver ici, notre pic nous est apparu là-bas, haut et lointain, impressionnant vu d’où nous sommes.

       Nous perdons un peu d’altitude jusqu’au petit col et rejoignons le grand cirque sauvage et froid. Le soleil est de la partie aujourd’hui mais il ne parvient pas encore jusqu’aux  rochers qui vont devenir notre terrain jusqu’en haut. Ici, c’est une impression d’austérité qui domine. L’herbe, même chétive, n’existe plus. Du caillou et encore du caillou. Nous calculons notre itinéraire, relativement facile à définir : montée tout droit dans le grand pierrier jusqu’au pied des falaises du pic de Pène Blanque, puis virage sur la gauche au-dessus d’une haute barre rocheuse. Le tout semble assez pentu mais pas trop difficile à franchir.

        Quelques cairns mal disposés ça et là, parfaitement inutiles, nous montrent que d’autres sont passés par là. La montée n’est pas commode. A chacun de trouver son chemin, de choisir les rochers les plus solides, les moins croulants. Nous arrivons au-dessus de la barre rocheuse. Redoublons de prudence, la chute serait douloureuse, au moins pour les pantalons et aussi pour ce qu’il y a dessous. Le vide se creuse tout doucement, mais sûrement. Nous arrivons au pied de la falaise. C’est de plus en plus raide mais nous rencontrons un peu d’herbe rabougrie et surtout quelques petites marches terreuses qui facilitent notre montée. La cime arrive enfin, toute proche.

                                 « Qu’il est bon le moment où apparait plus haut

                                   La pointe du sommet où cesserons nos maux »

         Encore un petit effort et c’est la victoire. Hélas, catastrophe, ce n’est pas le vrai sommet. Le vrai, il domine un peu plus loin, un peu plus haut. Qu’importe, un petit coup de rein supplémentaire et nous voilà sur la cime. La plus haute, certes mais une nouvelle surprise nous attend. Le bâton planté sur le gros cairn sommital se dresse un peu plus loin. Une petite et courte arête rocheuse, un peu exposée, nous en sépare. En quelques minutes nous la franchissons pour enfin caresser les cailloux de ce cairn. La vue est splendide sur la vallée de la Mongie, de Campan, sur les lacs de Caderolles, de Grésiolles et sur tous les sommets environnants. Encore chauds de la montée, nous repassons vite la vilaine petite arête pour rejoindre la pointe la plus haute et enfin s’offrir le traditionnel Ricard de la victoire avant d’ouvrir nos sacs de victuailles. Quoi de plus merveilleux alors que de se dorer au chaud soleil de novembre sur un point aussi haut !!!!! La solitude parfaite ? pas tout à fait : la bas sur le pic de Pène Blanque, des silhouettes s’agitent. Un jour prochain, nous le gravirons aussi, c’est promis.

Quelques appréhensions pour entamer la descente. Il est vrai que, vu d’en haut, le pierrier reste impressionnant pour qui n’a pas l’expérience de ces terrains. Mais tout se passe très bien, J’ai laissé à la maison mes bâtons ultra- légers en duralumin pour m’équiper de mon gros bon bâton ferré et il fait merveille dans les éboulis. Je peux descendre en « ramasse » en toute sécurité. 

       De retour au petit col, ironiquement je propose de descendre par le sentier si dangereux emprunté il y a trois jours, mais je reçois un non ferme, catégorique et sans discussion. La Mongie est vite là. Quelques gros avions militaires viennent un instant troubler le calme du site. Quelle belle journée !!  

                                                                                                    G  H

 

                   

Publié le 10/11/2014 @ 23:00  Prévisualiser  Imprimer l'article

Compte rendu AG 2014 - par MM

Compte rendu de l’AG de Séméac Evasion du samedi 25 octobre

 

L’assemblée générale  annuelle de Séméac Evasion s’est tenue  le samedi  25 octobre au Centre culturel Léo Lagrange.

De nombreux adhérents assistaient à cette réunion ainsi que Mme Armand, Maire adjoint chargée des sports et Mme Isson, Maire de Séméac.

A l’ordre du jour, la présentation des différents  rapports( rapport moral, de trésorerie, du commissaire aux comptes et d’activité) et élection de quatre membres sortants du conseil d’administration.

Les rapports ont été adoptés à l’unanimité ainsi que la réélection des membres sortants qui se représentaient : Jacqueline Chadourne, Geneviève Dasté, Philippe Evon, Guy Ladevèze. Ceci traduit la bonne santé du Club grâce à l’investissement des responsables élus du Club mais aussi grâce à la participation efficace de nombreux adhérents qui encadrement les activités et au soutien constant de la municipalité.

Les projets  pour 2015 qui ont été annoncés renouvellent pour l’essentiel la vie du Club en 2014 tout en apportant quelques nouveautés.

Puis une assemblée générale extraordinaire a adopté la proposition de modification statutaire qui a porté le nombre des  membres du conseil d’administration de 8 personnes  à 9 personnes.

L’objectif attendu de ce changement est de renforcer  et d’améliorer le fonctionnement du conseil d’administration  qui est l’organe de direction de l’association.

Francis Dubourdieu, qui s’est porté candidat, a été élu à l’unanimité.

Composition du nouveau conseil d’administration :

  • Président : Philippe Evon
  • Vice-président : Michel Mombet
  • Trésorier : Guy Ladevèze
  • Secrétaire : Geneviève Dasté
  • Membres : Jacqueline Chadourne, Francis Dubourdieu,Yvette Dupuy, Michel Dupuy, Jean Pierre Embarbé.

 

Et comme dans Astérix le Gaulois, un excellent banquet a clôturé cette soirée accompagnée de chants et de bonne humeur.

 

Publié le 10/11/2014 @ 21:19  Prévisualiser  Imprimer l'article

100 Serpolet en boucle - par Huberdeau

                                                        LE SERPOLET

 

           Depuis longtemps, je souhaitais gravir le Serpolet en traversée du virage du Garret à La Mongie. Ignorant la possibilité et les difficultés du parcours côté La Mongie, je désirais partir seul en reconnaissance. Mais les murs ont parfois des oreilles et, ce dimanche 26 donc, malgré l’heure tardive du coucher due à l’assemblée générale de la veille, nous nous retrouvons à trois à La Mongie, Michelle, JP et moi-même. ‘’ Parcours découverte pouvant être délicat ‘’ disait le mail d’invitation sur internet. Peut-être est-ce là la raison du  peu de participation à la sortie. Nous partons pour la grande Aventure avec un A majuscule. Nous montons d’abord sur la prairie qui fait suite au parking. Départ lent qui nous amène sur….. un sentier balisé en jaune et que nous suivons durant un long moment puisqu’il se dirige dans la bonne direction. Là, j’ôte le A majuscule de l’aventure car le sentier est vraiment débonnaire. L’aventure s’est aseptisée. Mais ce coquin file sans trop monter, ce qui nous oblige à  quitter son confort pour attaquer une grimpette un peu raide dans un vallon herbeux. Celui-ci  nous amène sur la crête du Serpolet, juste au-dessus de la cheminée d’équilibre. Vue magnifique sur la plaine baignée d’un soleil radieux Sur La Mongie, le spectacle est moins joli. Que c’est moche une station de ski l’été. Heureusement, le pic de Midi nous offre son éternelle pyramide qu’on voit de partout. Encore un effort et nous foulons le sommet du Serpolet. Personne, la vilaine et pourtant utile antenne n’attire pas de monde aujourd’hui. Il est tôt et nous n’allons pas en rester là. Première conclusion : aucune difficulté pour descendre du Serpolet sur la station. C’est une idée de sortie pour le club, peut-être aussi pour les Montagnols : Garret La Mongie.

         Devant nous se dresse le pic Barrassé, planté avec le Pène Blanque au dessus d’un cirque sauvage. Allons voir chez Zavatta dit Michelle. Nous redescendons légèrement vers un petit col et remontons sans fatigue jusqu’à ce cirque impressionnant par la raideur de ses flancs et la grandeur de ses éboulis. Nous décidons de manger là. Et comme d’habitude, c’est un maigre et banal repas mais dans une somptueuse salle à manger qui nous fait oublier la pauvreté du menu. Un couple descend du Barrassé, lentement et précautionneusement mais il descend bien. Un homme, une femme, ils viennent nous dire bonjour et nous disent que le Barrassé est faisable par ici. Promis, nous allons y promener nos chaussures mais pas aujourd’hui, il est trop tard. Après que ‘’Radio Sentier ‘’ ait soulé ce couple de ses explications, nous devons quitter ces lieux.

 C’est au petit col que nous vient l’idée autant ‘’ saugre que grenue’’ de prendre une autre voie de descente pour rejoindre le parking. Une petite sente minuscule s’offre à nous. Allons-y. Le début est idéal, sans aucune difficulté, mais ensuite, cela se gâte. Des passages délicats viennent perturber notre descente pépère. Pente très raide, sentier écroulé, ravins profonds qui plongent jusqu’à La Mongie sans gare intermédiaire, sol en petits graviers sans résistance, pas de prises ni de mains, ni de pieds, la totale quoi. Pardon Michelle. Mais, coincée entre JP et moi, elle passe, souveraine.  Là, je rajoute le grand  ’’A’’  à notre aventure. Après quelques frayeurs, c’est la délivrance, la raide prairie terminale nous semble ‘’ à vache’’.  La conclusion s’impose vite : pas question de venir ici avec le club. Au bas de la descente, bien marquée sur un tuyau en béton, une indication et une flèche : Serpolet. La reconnaissance ne s’imposait pas. Néanmoins, nous avons passé une bonne journée et découvert la voie pour atteindre le Barrassé  par ce versant. Nous y retournerons avant les premières neiges.  

                                                                                              G H 

Publié le 01/11/2014 @ 20:53  Prévisualiser  Imprimer l'article

Le Casque et la Plume en Béarn (suite n° 11) - par Evasion VTT

Samedi 24 mai

 

Béarn-Bigorre

 

Aujourd'hui rendez vous chez nos amis de Poey de Lescar qui nous reçoivent chaleureusement au club de foot du lieu.

Composé de huit éléments mixtes  près retraités ou retraités notre équipe est astucieusement encadrée par douze lascars jeunes et vigoureux,le départ est convivial les chemins propices à notre sport .

Dès les premières montées,nous gardons nos "Michel " en réserve. Jacques dévoile ses capacités dans cet exercice,il est repéré par nos adversaires et comme par hasard nous le trouvons allongé dans l'obscurité d'un chemin creux,une écorchure sur le front,les deux seuls témoins de la chute sont béarnais....?

Jacques se console en marquant des points pour notre challenge " la gamelle d'or "qui récompense l'auteur des chutes les plus spectaculaires ( il avait déjà montré ses ambitions lors de sorties précédentes )

A l'occasion de quelques montées sévères,nous lâchons de temps en temps nos "Michel" histoire de montrer que nous ne sommes pas

des perdreaux de la semaine dernière.

Alors que dans le retour , nous progressons sur des crêtes majestueuses,Françoise nous réserve une chute spectaculaire,atterrissage dans vingt centimètres d'eau. Elle jure à " genoux" qu'elle ne l'a pas fait volontairement : en agissant ainsi elle a quand même pris des points à un éventuel concurrent de Jacques ,son mari.

La randonnée se termine par une très belle descente qui nous ramène à notre point de départ.

Après la douche,apéro et repas avantageux.Nous prenons rendez-vous avec nos adversaires du jour pour une revanche sur nos terres.

Nos adversaires qui sont aussi nos amis,ne portons nous pas le même béret ?

 

                                             SM

Publié le 01/06/2014 @ 15:00  Prévisualiser  Imprimer l'article
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